L’Entr’Aide Ouvrière persiste et signe

 

reçu le 20 Mai
Ce matin des membres de RESF 37 et Chrétiens Migrants ont essayé
d’apporter à manger à la famille hébergée à Dolbeau. Il n’a pas été
possible pour ces personnes de rencontrer la famille et lui donner à
manger. Rappelons que la direction générale de l’EAO veut l’orienter
vers l’hôtel Comté. Il n’y a plus lieu de décrire les conditions infâmes
d’hébergement dans cet hôtel. En outre, plusieurs chambres d’hôtel
devraient être fermées le 31 mai. Ainsi on n’a aucune garantie que cette
famille puisse être hébergée durablement si elle accepte d’aller à
l’hôtel Comté. Cette situation, générée par la direction générale de
l’EAO est inacceptable. Visiblement, le vent du changement ne souffle
pas au 62 rue G. Sand ! Les décisions et les pratiques restent les mêmes
et font même preuve d’un certain conservatisme ! La solidarité doit
s’élargir en interpellant les responsables de l’EAO pour qu’ils
reviennent sur leur décision à l’encontre de cette famille et que dans
l’immédiat, les personnes qui souhaitent apporter de la nourriture et
laver le linge (la famille n’a plus accès aux machines à laver) puissent
rencontrer cette femme et ses enfants ! On peut téléphoner au 115 et
demander à parler au cadre d’astreinte pour ce week end et dès lundi
appeler le siège de l’EAO (02 47 31 87 00) pour exprimer sa solidarité
avec cette famille et demander à pouvoir la rencontrer.
Un délégué syndical SUD de l’EAO

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Le PS vous y croyez?


La mairie PS d’Abbeville (Picardie) se désolidarise d’une de ses élues
poursuivie pour avoir aidé un sans-papiers !

extrait :
« La justice soupçonne l’élue d’avoir aidé une personne sans titre de
séjour à résider en France. Elle lui a fourni un certificat
d’hébergement dont l’homme ne s’est pas servi. »
« Hier soir, la ville d’Abbeville envoyait un communiqué : « /Attaché à
la présomption d’innocence, mais aussi à l’exemplarité des élus, (…)
j’ai décidé, en accord avec l’ensemble des maires adjoints, de lui
retirer ses délégations et ce, à compter de ce jour/ », écrit le maire
(PS) Nicolas Dumont. »

Source :
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Je-prouverai-mon-innocence

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Qui a dit?


1) Qui a dit ça ?
« De nouveaux instruments nous permettront de réguler les flux
migratoires. Pour y voir clair, il faut d’abord prévoir. C’est pourquoi,
dorénavant, le Gouvernement définira chaque année, dans un rapport au
Parlement, des objectifs chiffrés concernant le nombre des migrants que
la France souhaite accueillir, en distinguant les grandes catégories de
titres de séjour par motifs : travail, études, séjour familial (…) Il
ne s’agit pas de définir des plafonds qui s’imposeraient à chaque consul
ou à chaque préfet sans pouvoir être dépassés. Cette rigidité n’aurait
guère de sens. En revanche, définis en fonction de la situation
démographique de la France, de ses perspectives de croissance, des
besoins du marché de l’emploi et de ses capacités d’accueil, les
objectifs quantitatifs constitueront un « tableau de bord » utile qui
permettra aux administrations de disposer de références opérationnelles.
Les ambassadeurs en feront l’un des éléments de leur dialogue avec les
gouvernements des pays d’origine. »

2) Et ça ?

« Notre politique doit prendre en compte à la fois les droits des
migrants, leur dignité, aujourd’hui trop souvent bafoués, mais aussi les
capacités d’accueil de notre pays. Au préalable, dans la transparence,
nos besoins d’emploi doivent être évalués, négociés avec les partenaires
sociaux. Sur cette base, le parlement fixera des quotas déterminant le
nombre annuel d’entrées par type de qualifications et de métiers.
Établis dans la concertation avec les pays d’émigrations, ces quotas
seront, au fond, le socle d’une nouvelle coopération, d’une coopération
renforcée. »

3) Qui a dit ça ?

« Pour moi, il ne fait aucun doute que l’immigration et l’intégration
sont deux enjeux étroitement imbriqués. (…) Désormais, pour obtenir un
droit au séjour durable, il faudra manifester sa volonté de s’intégrer
en faisant l’effort nécessaire pour apprendre notre langue. Si l’on
n’apprend pas le français, on n’a pas vocation à rester durablement sur
le territoire de la République française. Il faudra aussi – c’est bien
le moins – s’engager à respecter les lois et les valeurs de la
République. Si on ne le veut pas, on n’a pas vocation à être accueilli
et à demeurer en France. »

4) Et ça ?

« Les régularisations ne pourront se faire qu’au cas par cas. Elles
supposent des critères cohérents, lisibles par tous, et appliqués – ce
qui n’est pas le cas aujourd’hui – de manière identique sur tout le
territoire de la République. Ces principes, ces critères, concernent à
la fois la famille, le travail, la durée de séjour, et sans doute aussi
– car c’est un élément qui doit être clair pour tout le monde – le
niveau d’intégration, je pense bien évidemment à la langue et au lien
avec les valeurs de la République. »

5) Qui a dit ça ?

« Des mesures législatives et administratives peuvent être prises –
j’allais dire doivent être prises – pour lutter contre les filières
criminelles d’immigration. Car, il faut maintenant parler non plus des
filières d’immigration mais des filières criminelles d’immigration.
(…)**Les mesures qui renforcent notre maîtrise des flux migratoires
doivent être, aussi souvent que possible, adossées à une politique
communautaire de gestion des frontières. Je l’affirme, contrairement à
ce que j’entends dire parfois, l’Europe est une aide en matière de
contrôle d’immigration, et non un handicap. »

6) Et ça ?

« Quant à la lutte contre l’immigration clandestine, elle passe par le
démantèlement des filières qui l’alimentent, par la sanction des
entreprises qui la pratique, mais elle ne peut désormais s’envisager,
essentiellement, qu’au niveau européen. »

« Il faut donner d’avantage de moyens au niveau de l’Europe pour lutter
contre l’immigration clandestine (…) en créant notamment une police
spécialisée, en renforçant ce qui existe, mais en allant bien plus loin
dans la lutte contre l’immigration clandestine. »
_
Réponses:

1) Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, devant l’Assemblée
nationale, en présentant la /loi relative à l’immigration et à
l’intégration/ (2006)
2) Manuel Valls, à la rubrique « intégration » de son programme pour les
primaires socialistes (septembre 2001)
3) Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, en 2006 devant
l’Assemblée nationale, en présentant la /loi relative à l’immigration et
à l’intégration/ (2006)/
4) Manuel Valls, à la rubrique « intégration » de son programme pour
les primaires socialistes (septembre 2011)
5) Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, devant l’Assemblée
nationale, en présentant la /loi relative à la maîtrise de l’immigration
et au séjour des étrangers en France /(2003)

6) Manuel Valls, à la rubrique « intégration » de son programme pour les
primaires socialistes (septembre 2011) et lors d’un débat télévisé face
à Brice Hortefeux (avril 2012)

Le changement, c’est pas pour les migrants ?

Avec en bonus un article: Vous avez aimé Claude Guéant ? Vous adorerez
Manuel Valls.
http://blog.mondediplo.net/2012-05-16-Vous-avez-aime-Claude-Gueant-Vous-adorerez-Manuel

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[Rien ne meurt jamais] Comité227

Cette intervention vidéo a été réalisée collectivement par la section d’été du Comité227 en réponse à l’invitation du GRM (Groupe de Recherche Matérialiste) à participer à une journée du Forum International de Philosophie Politique et Social, qui s’est déroulée le 10 juillet 2010 à Toulouse. L’objet d’étude de la journée était « Les luttes étudiantes », c’est à ce titre que nous étions conviés à nous présenter.

TELECHARGER LE MANIFESTE

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Notre rage reste…

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Procès antiterroriste : premier jour agité

Nous sommes allés exprimer notre solidartié avec les six camarades poursuivis pour association de malfaiteurs à visée terroriste au tribunal de grande instance de Paris.

Alors qu’une cinquantaine de personnes était rentrée dans la salle d’audience, un petite centaine est restée devant. Comme nous étions mal intentionnés, nous avons déployé une banderole sur laquelle était écrit « La démocratie enferme et tue, à bas l’État et la capital » et commencé à crier pour faire entendre notre solidarité aux camarades à l’intérieur.

« Liberté pour tous avec ou sans papiers » ; « À bas l’État, les flics et les patrons ! » ; « Pierre par pierre et mur par mur nous détruirons toutes les prisons » ; « Liberté pour tous avec ou sans chlorate ».

On a aussi chanté quelques chansons en s’appliquant particulièrement sur la phrase « Sache que ta meilleure amie, prolétaire, c’est la chimie ! »

Les flics nous ont arraché la banderole, et comme ils avaient pas l’air d’aimer nos slogans ils ont demandé qui était le chef pour ouvrir les négociations, en cœur, nous leur avons crié notre refus des chefs.

Au bout d’une demi-heure, les flics ont été rejoints par d’autres de leurs collègues, on leur a fait savoir ce qu’on pensait d’eux en criant « Flics, Porcs, Assassins ! », puis comme on savait ce qu’ils allaient faire, on s’est mis en chaîne et préparé à se faire virer, non sans continuer de crier notre solidarité. Après quelques bousculades, ils ont ouvert la grande porte au rez-de-chaussée et nous ont jetés dehors.

Pendant l’heure qui a suivie, les flics nous ont suivis et pourchassés dans la rue jusqu’à arrêter et vérifier l’identité de quinze personnes. Deux d’entre elles sont en GAV au commissariat de la Goutte d’Or. On ne sait pas pour quel motif.

Ni les flics, ni les juges n’arrêteront nos révoltes ! Solidarité avec les six camarades dont le procès continue demain mardi, mercredi et lundi 21 et mardi 22, à 13h30 à la 10e chambre du tribunal de grande instance de Paris.

Indymedia Paris, 15 mai 2012


Considérations pyrotechniques au procès de la “mouvance anarcho-autonome”

Ce lundi s’ouvrait à Paris le procès de six personnes accusées d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Elles comparaissent pour une série d’actions imputées à “l’ultragauche”.

Une femme et cinq hommes, âgés de 29 à 31 ans, sont jugés depuis lundi au tribunal correctionnel de Paris. Ils sont accusés de plusieurs actions de sabotage en 2006 et 2007, attribuées par la police à “la mouvance anarcho-autonome francilienne”, dont la tentative d’incendie d’une armoire électrique de la SCNF et la pose d’un engin incendiaire sous une dépanneuse de police. Au-delà des actes imputés à chacun (résumés ici), qu’ils contestent tous, ils se voient reprocher d’avoir créé ensemble “un groupement en vue de la préparation d’actes de terrorisme”.

“À bas l’État, les flics et les patrons !”

Pendant que la présidente du tribunal lit l’ordonnance de renvoi, un rassemblement de soutien se déroule en fanfare de l’autre côté du mur pendant une bonne demi-heure. “Avec ou sans papiers, liberté pour tous !”, “À bas l’État, les flics et les patrons !”, crient les manifestants, parfaitement audibles depuis la salle d’audience où les bancs du public sont pleins.

Frank F., Ines M., Xavier M. (son frère), Damien B., Ivan H., et Bruno L. comparaissent libres, soumis à un contrôle judiciaire après plusieurs mois de détention préventive. Selon les cas, ils sont accusés d’avoir fabriqué l’engin incendiaire placé sous la dépanneuse de police le 2 mai 2007, d’avoir transporté des matières explosives ou inflammables, d’avoir essayé de mettre le feu à une armoire électrique de la SNCF en 2006, pendant la lutte anti-CPE à Paris, et d’avoir refusé de se soumettre au prélèvement ADN pendant leur garde à vue.

Ils vivent en squat ou dans des apparts avec la clé sous le paillasson pour ceux qui passent, se définissent comme “anticapitalistes” ou “contestataires” si la présidente leur demande, mais n’aiment pas trop se définir. Quatre sur six ont un casier vierge, deux ont déjà été condamnés, l’un pour pour le vol d’une pédale de vélo dans un magasin de sport et l’autre pour un vol aggravé. Le RSA constitue leur revenu principal, ce qui énerve l’un des juges assesseurs face à Bruno L. :

“— Vous acceptez l’argent que la société vous donne, il n’y a pas de contradiction?
— Non.
— Soit on accepte les règles du jeu, soit on les conteste jusqu’au bout. C’est ça être un vrai contestataire.”

Clous et poudre beige

Bruno L. et Ivan H. ont ouvert le bal des examens de personnalité et commencé à discuter les faits qui leur sont reprochés. Ils doivent s’expliquer sur cette journée du 19 janvier 2007 où ils sont contrôlés à Fontenay-sous-Bois alors qu’ils montent dans leur voiture pour se rendre à une manifestation devant le centre de rétention de Vincennes. La police trouve sur eux des clous pliés en trois et 1,7 kg de poudre beige. Damien L. est arrêté en même temps alors qu’il arrivait à mobylette.

S’ils gardent le silence en garde à vue, Bruno L. et Ivan H. ont la même version des faits depuis leur première audition par un juge : les clous sont des “crève-pneus” destinés à “bloquer la circulation” à proximité du centre de rétention. La poudre est un fumigène fait maison.

La présidente : “Vous avez ajouté du curcuma ?”
Bruno : “Oui, on s’est dit que peut-être ça ferait de la fumée jaune.”
Rires dans la salle.
La présidente : “Pourquoi n’avez-vous pas acheté un fumigène puisqu’il y en a des tout faits vendus dans le commerce qui marchent très bien ?”
Bruno : “Pourquoi se faire à manger quand il existe des plats préparés ?”

L’aspect artisanal des choses a son importance, puisque les enquêteurs ont d’abord interprété la poudre (du chlorate de sodium, du sucre et de la farine) comme un mélange explosif. Au labo, les premières conclusions sont alarmistes : une préparation “létale à plusieurs mètres” qui devient carrément “un engin à fragmentation” si l’on y ajoute les clous. Le rapport définitif, comme le précise la présidente, est “beaucoup plus nuancé” : le mélange “s’enflamme difficilement”. Si les deux amis voulaient faire une bombe, “le dosage est mal fait”. Ivan H., qui a acheté les ingrédients, conteste :

Ce mélange était bien fait : cette recette et ces proportions ne permettent pas de le faire exploser. Il n’y a pas de raison de croire que ça devait servir à autre chose qu’à faire un fumigène.”

Outre la poudre, Bruno L. et Ivan H. transportaient des pétards. Ils disent avoir voulu “se rendre visibles” auprès des personnes retenues à Vincennes, “qui n’ont qu’une toute petite fenêtre”.

Documentation anarchiste

Ils reconnaissent sans peine leur participation à des manifestations “contre l’existence de ces centres et en solidarité avec les personnes enfermées” et à des occupations de bâtiments officiels pour obtenir la régularisation de sans-papiers ou des logements.

Ayant décidé de ne plus respecter son contrôle judiciaire, Bruno L. a écrit une lettre intitulée “Pourquoi je me suis fait la malle”, publiée sur Internet et lue à l’audience. Chez lui et chez les autres, la police a trouvé “de la documentation anarchiste”, laissant penser qu’ils appartiennent à “la mouvance anarcho-autonome francilienne”, un terme “pas forcément très défini” reconnaît la présidente. Elle rassemblerait ceux qui partagent “le rejet de l’État “bourgeois”, du capitalisme et de l’institution policière”.

“C’est important qu’on voie s’il y a des liens” entre les prévenus, poursuit la présidente. La question pose problème à Ivan H., qui a “bien vu comment des liens amicaux se transforment en association de malfaiteurs”. L’audience se termine sur la lecture d’une lettre, retrouvée dans son ordinateur, adressée à certains de ses coprévenus. Il s’y réjouit de l’incendie d’un Mac Donald’s près de Guéret. Le tribunal se demande pourquoi il s’est réjoui. Le public se demande pourquoi la présidente lui demande de commenter. L’audience se termine pour la journée.

Presse terroriste (Camille Polloni, LesInrocks.com, 15 mai 2012)

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La passion de la Liberté

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Contre les violences policières , Mai 2012, N°108

Hollande vote Sarkozy

Sarkozy et sa clique ont été dégagés, mais ce n’est pas la joie car son
successeur marche dans ses pas. Hautement symbolique à cet égard :
Hollande a accepté le 8 mai, sans y être nullement obligé, de parader main
dans la main avec son « adversaire »… pour « réconcilier les deux France
». Que Hollande soit mou ou méchant, peu importe, c’est sa fonction qui
l’y oblige. Il est devenu président de l’État. C’est pour ça que Hollande
va protéger et renforcer la marchandise puante qu’une partie de ses
électeurs avaient cru avoir rejetée en chassant Sarkozy.
On ne parle pas du genre de promesses électorales qui « n’engagent que
ceux qui y croient », mais du solide : son engagement à maintenir la
répression, fondement de l’État. Et même d’en rajouter une couche.
Il s’agit des 22 lois liberticides dites « sécuritaires » depuis 2002, de
la rétention de sûreté, de la BAC qui continuera à sévir impunément, des
expulsions de sans-papiers, des enfermements en centres de rétention
(attention, « gôche » oblige, « aménagés » pour accueillir les bébés), du
contrôle plus strict de l’immigration « légale », de la création de «
brigades spéciales » contre l’immigration « illégale », du recrutement de
1000 policiers par an, du maintien de l’interdiction du « voile intégral
»…
Faut-il s’en étonner ? Franchement non. À l’origine du premier centre de
rétention, partie prenante des premières lois « sécuritaires » et des
entreprises de stigmatisation des « étrangers », c’est la « gôche » qui a
pavé la route pour Sarkozy.
Alors Sarkozy, Hollande « bonnet blanc, blanc bonnet » ? Quant au fond
certainement, quant à la forme non, avec Hollande il y aura une bonne
couche de vernis rose.
Mais c’est dans la rue, à la tunisienne ou à l’égyptienne, que la donne
pourra être changée.

RE108-MAI-2012

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Les fachos contre la Gay pride


Le 26 mai prochain, les fafs de VoxPopuli appellent une fois encore à se
rejoindre à 14h à l’angle des rues Colbert et Jules Favre pour défendre
« la famille et la vie« , contre la Gay Pride, qui a lieu le même jour, à la
même heure.

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Grace et Volupté Van Van

Grace et Volupté Van Van
http://combiendefois4ans.blogspot.fr/

Grace et Volupté Van Van – Collier de couilles (mp3)

Un des titres des Van Van évoque le machisme ambiant et la tendance d’un
peu trop de gars à traiter de fascistes les féministes qui dénonce
leurs privilèges. Les dominants qui traitent celleux qu’ils oppriment de
réac’, c’est le comble mais c’est malheureusement fort courant…

Après les fachos qui partent en croisade contre le « racisme anti-blanc »,
les machos vont se mettre à lutter contre le « sexisme anti-hommes »?

en écoute: http://www.dogmazic.net/m3u/hitcounttitre.php?id=72499&ur=1&usr=
en téléchargement:
http://www.dogmazic.net/m3u/dwncounttitre.php?id=72499&ur=1&usr=


http://www.dogmazic.net/Grace_et_volupte

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