De Toulouse à Tours

LES AMI-E-S DU CREA de Toulouse APPELLENT LES COMPAGNONS ET COMPAGNONNES
DE TOURS ET DES ENVIRONS!!

Réunion publique à CHAMBRAY-LÈS-TOURS, avec MARISOL TOURAINE
 25 mai 2012 , 20 h 30 min – 22 h 00 min
Ferme marsin
7 Rue Philippe Maupas
37170 Chambray-lès-Tours
France

Appel des AmiEs ToulousainEs à donner ce tract à Mme Touraine, ministre
des affaires sociales et de la santé ce soir, puisqu’elle sera à Chambray
Les Tours.

APPEL A RESISTANCE CONTRE LES EXPULSIONS

Il y a plus d’un an, nous, CREA (Collectif pour la Réquisition, l’Entraide
et l’Autogestion), avons réquisitionné le bâtiment d’état du 70 allée des
Demoiselles à Toulouse. Plus de 40 personnes dont 7 familles qui vivaient
dans la rue s’y sont installé-e-s. Les enfants sont scolarisé-e-s et les
familles profitent    d’espace   et  de   temps   pour   reprendre    leur
vie   en  main.   On    essaie  de   s’en  sortir collectivement, en
autogestion, entre galériens.

Des centaines de personnes utilisent aussi le lieu pour toutes sortes
d’activités et de projets à travers
le Centre Social Autogéré : menuiserie, jardinage, alphabétisation,
soutien scolaire, boxe, soutien juridique, concerts, projections, atelier
couture, organisations de rencontres, discussions, débats, cuisine et
activités avec les enfants, zone de gratuité… Tout fonctionne sur
l’entraide et la solidarité, sans subventions et sans en demander.

Nous reprennons les bâtiments construits par le peuple, appartenant au
peuple et laissés vides par leurs propriétaires. Le capitalisme jette de
plus en plus de gens à la rue et spécule sur les logements
vides. Face à cette stratégie délibérée de création de la misère, nous
réquisitionnons. L’état ne fait pas partie de la solution mais du
problème.

Depuis septembre 2011, avec des membres du GPS (Groupement Pour la défense
du travail Social) ainsi que des individu-e-s de tout horizon, nous avons
lancé, la campagne « zéro gosse à la rue » devenue depuis « zéro personne
à la rue ». Il s’agit de proposer à qui le désire de s’organiser pour
réquisitionner des bâtiments vides et s’y loger, en portant des pratiques
d’entraide et d’autogestion.

Ces bâtiments accueillent plus de 120 personnes soit 40% de l’hébergement
d’urgence de familles à Toulouse.
Seulement 4 des 10 bâtiments réquisitionnés ont survécu aux expulsions
illégales de la préfecture.
L’acharnement de cette préfecture serait-il lié à sa peur que nous nous
réapproprions nos biens et nos droits, que nous ne soyons plus sous
contrôle? Tenterait-elle d’atteindre l’illusion de voir notre
expérience humaine disparaître avant des mutations certaines?

Ce 1er juin 2012, à 9h, nous serons nombreux-euses au tribunal
administratif de Toulouse pour le procès du 70 allées des Demoiselles.
Notre propriétaire, le ministère des affaires sociales, demande
l’expulsion du bâtiment qu’il veut se réapproprier afin d’y créer, soit
disant, un centre d’hébergement d’urgence pour sans domiciles fixes. Nous
dénonçons la sinistre ironie de ce projet qui consiste à
remettre 40 personnes, dont une quinzaine d’enfants, à la rue pour y
“accueillir” des SDF laissés à la rue depuis des années. Et, cet “accueil”
ne se fera bien sûr pas sur la base de l’autogestion. Non
seulement l’état se désengage en baissant les budgets alloués au
financement des hébergements d’urgence     mais   aujourd’hui   il
cherche aussi   à  détruire  toute   forme   d’organisation   collective
et
solidaire.

Si nous exigeons l’arrêt de ce procès, nous l’exigeons aussi pour toutes
les expulsions, qu’elles soient par la force ou la ruse administrative.

Le CREA Collectif pour la Réquisition l’Entraide et l’Autogestion

Contact: Thomas: 06.87.22.42.42 / .Fouad: 07.62.36.23.31  / Annabelle:
06.75.03.10.91
Mail: crea@squat.net      /  crea-csa.over-blog.com

Reçu à L'Agent DA :

LES AMI-E-S DU CREA de Toulouse APPELLENT LES COMPAGNONS ET COMPAGNONNES
DE TOURS ET DES ENVIRONS!!

Réunion publique à CHAMBRAY-LÈS-TOURS, avec MARISOL TOURAINE
 25 mai 2012 , 20 h 30 min - 22 h 00 min
Ferme marsin
7 Rue Philippe Maupas
37170 Chambray-lès-Tours
France

Appel des AmiEs ToulousainEs à donner ce tract à Mme Touraine, ministre
des affaires sociales et de la santé ce soir, puisqu'elle sera à Chambray
Les Tours.

 APPEL A RESISTANCE CONTRE LES EXPULSIONS

Il y a plus d'un an, nous, CREA (Collectif pour la Réquisition, l'Entraide
et l'Autogestion), avons réquisitionné le bâtiment d'état du 70 allée des
Demoiselles à Toulouse. Plus de 40 personnes dont 7 familles qui vivaient
dans la rue s'y sont installé-e-s. Les enfants sont scolarisé-e-s et les
familles profitent    d'espace   et  de   temps   pour   reprendre    leur
 vie   en  main.   On    essaie  de   s'en  sortir collectivement, en
autogestion, entre galériens.

Des centaines de personnes utilisent aussi le lieu pour toutes sortes
d'activités et de projets à travers
le Centre Social Autogéré : menuiserie, jardinage, alphabétisation,
soutien scolaire, boxe, soutien juridique, concerts, projections, atelier
couture, organisations de rencontres, discussions, débats, cuisine et
activités avec les enfants, zone de gratuité... Tout fonctionne sur
l'entraide et la solidarité, sans subventions et sans en demander.

Nous reprennons les bâtiments construits par le peuple, appartenant au
peuple et laissés vides par leurs propriétaires. Le capitalisme jette de
plus en plus de gens à la rue et spécule sur les logements
vides. Face à cette stratégie délibérée de création de la misère, nous
réquisitionnons. L'état ne fait pas partie de la solution mais du
problème.

Depuis septembre 2011, avec des membres du GPS (Groupement Pour la défense
du travail Social) ainsi que des individu-e-s de tout horizon, nous avons
lancé, la campagne « zéro gosse à la rue » devenue depuis « zéro personne
à la rue ». Il s'agit de proposer à qui le désire de s'organiser pour
réquisitionner des bâtiments vides et s'y loger, en portant des pratiques
d'entraide et d'autogestion.

Ces bâtiments accueillent plus de 120 personnes soit 40% de l'hébergement
d'urgence de familles à Toulouse.
Seulement 4 des 10 bâtiments réquisitionnés ont survécu aux expulsions
illégales de la préfecture.
L'acharnement de cette préfecture serait-il lié à sa peur que nous nous
réapproprions nos biens et nos droits, que nous ne soyons plus sous
contrôle? Tenterait-elle d'atteindre l'illusion de voir notre
expérience humaine disparaître avant des mutations certaines?

Ce 1er juin 2012, à 9h, nous serons nombreux-euses au tribunal
administratif de Toulouse pour le procès du 70 allées des Demoiselles.
Notre propriétaire, le ministère des affaires sociales, demande
l'expulsion du bâtiment qu'il veut se réapproprier afin d'y créer, soit
disant, un centre d'hébergement d'urgence pour sans domiciles fixes. Nous
dénonçons la sinistre ironie de ce projet qui consiste à
remettre 40 personnes, dont une quinzaine d'enfants, à la rue pour y
“accueillir” des SDF laissés à la rue depuis des années. Et, cet “accueil”
ne se fera bien sûr pas sur la base de l'autogestion. Non
seulement l'état se désengage en baissant les budgets alloués au
financement des hébergements d'urgence     mais   aujourd'hui   il
cherche aussi   à  détruire  toute   forme   d'organisation   collective
et
solidaire.

Si nous exigeons l'arrêt de ce procès, nous l'exigeons aussi pour toutes
les expulsions, qu'elles soient par la force ou la ruse administrative.

Le CREA Collectif pour la Réquisition l'Entraide et l'Autogestion

Contact: Thomas: 06.87.22.42.42 / .Fouad: 07.62.36.23.31  / Annabelle:
06.75.03.10.91
Mail: crea@squat.net      /  crea-csa.over-blog.com
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Chasse aux putes : tous les prétextes sont bons…


23 mai 2012

Chasse aux putes : tous les prétextes sont bons…

À l’approche de l’été et sous couvert de motifs tous plus honorables les
uns que les autres, la chasse aux putes a été officiellement ouverte le
1er mars dernier. Confirmant la fructueuse et pérenne collaboration du PS
et de l’UMP en matière de répression des travailleurSEs du sexe, la
préfecture de police et la mairie de Paris ont pris un arrêté interdisant
« l’arrêt et le stationnement des véhicules conçus et construits pour le
transport de marchandises et ayant au moins quatre roues » dans les bois
de Boulogne et de Vincennes.

Point n’est besoin de lire les motifs de la décision pour constater que
ces autorités ont décidé de nettoyer les bois au kärcher comme disait
l’autre, en d’autres termes d’aller chercher les putes jusque dans les
bois où elles s’étaient réfugiéEs depuis la mise en œuvre de la LSI et
l’aggravation de la répression du racolage public, afin de bien leur faire
comprendre qu’en France, les travailleurSEs du sexe sont persona non
grata. Aux motifs que les bois sont « des espaces ouverts à tous les
publics » et qu’il faut préserver « la sécurité et la tranquillité des
usagers de l’espace public », les putes sont excluEs, harceléEs,
verbaliséEs. Ne font-elles pas partie des « usagerEs de l’espace public »
? Leur sécurité ne doit-elle être préservée ?

C’est bien de cela qu’il s’agit : sous couvert de préserver une quiétude
urbaine et un environnement bucolique, mairie et préfecture envoient les
forces de l’ordre chasser les prostituéEs, à grand renfort de sanctions
pécuniaires et de mises en fourrière.

La répression du racolage public a déjà éloigné les travailleurSEs du sexe
des regards et des structures d’accès au droit et aux soins, de prévention
et de santé. Cet arrêté les en éloigne encore davantage. On ne peut que
reconnaître l’efficacité de cette tartufferie : quand les putes seront
mortes, vous ne les verrez plus !

Nous exigeons :

– l’abrogation de l’arrêté du 1er mars 2012 interdisant l’arrêt et le
stationnement des camionnettes dans les bois de Boulogne et de Vincennes ;

– l’abrogation du délit de racolage public ;

– l’application du droit commun pour les travailleurSEs du sexe.

Signataires : Acceptess-T, Act Up-Paris, Aides, les Amis du Bus des
Femmes, A.N.A, Avec Nos Aînées, STS, Support Transgenre Strasbourg,
Strass, Syndicat du Travail Sexuel.

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FACE A LA REPRESSION CONSTRUISONS LA SOLIDARITE !


On nous veut isolé-e-s, dociles et impuissant-e-s
Comment essayer de faire taire des militant-e-s luttant pour le droit au
logement, la régularisation de tous-tes les sans papiers, la libre
circulation et installation, contre le racisme et la xénophobie d’Etat,
la précarité, l’autoritarisme, l’antisexisme, la marchandisation du
monde, la destruction du vivant,… ? Comment empêcher d’agir ceux et
celles qui par exemple n’acceptent pas que les espaces publics soient
envahis par la pub ou qui essayent de préserver les arbres dans l’espace
urbain ? Comment faire passer sous silence les brutalités, les
assassinats policiers ? Etc., etc., etc.
Sous couvert de démocratie, de justice indépendante (si, si, ils en
parlent encore, cela relève de la méthode coué !), nous sommes
convoqué-e-s devant les tribunaux, condamné-e-s à des amendes, à de la
prison… C’est un des moyens qu’utilise l’Etat pour tenter de nous
bâillonner, de nous contraindre à l’inaction. Nos pensées, nos idées
doivent rester dans nos têtes à l’état de chimères et ne pas être
partagées en vue d’être concrétisées ! Elles doivent en aucun cas
devenir des alternatives concrètes à cette société fondée sur la
domination, l’exploitation, la recherche de profits pour quelques uns
conduisant à l’appauvrissement des autres.
Envisager le monde au delà de ce que nous impose cet ordre établi,
signifie pour l’Etat que nous ne sommes plus démocrates, au sens où les
tenant-e-s du système l’entendent : « La démocratie [représentative], ce
n’est pas quand le peuple exerce le pouvoir, mais quand la lutte pour y
accéder est ouverte et concurrentielle. » (« Le populisme du FN, un
dangereux contresens », A. Collovald, Editions du Croquant 2004, page
104). Bien évidemment, cette lutte n’a lieu réellement qu’entre les
partis politiques gérant l’Etat.

Une initiative contre l’enfermement individualiste : organiser la
solidarité financière
La solidarité est un des meilleurs moyens pour s’opposer à cet
enfermement individualiste qui peut conduire à une sorte d’autisme
social : être indifférent-e- au monde et surtout à ce qui s’y passe pour
simplement assouvir des désirs immédiats et matériels à travers la
consommation d’objets, de territoires (tourisme), d’êtres humains
(exploitation, domination, sexisme), de culture limitée au
divertissement et transformée en une juxtaposition d’œuvres conduisant à
la marchandisation de ce qu’on appelle l’art.
Ce sont toujours des personnes qui sont poursuivies, condamnées. La
justice ne reconnaît jamais la dimension collective de nos luttes. En ne
laissant pas seul-e-s les copains et copines face à la police, dans
leurs cellules, devant les tribunaux et payer leurs amendes, nous
pouvons réaffirmer notre volonté d’agir collectivement et solidairement.
C’est pourquoi, nous avons ouvert un compte bancaire (Les pieds dans le
plat) pour pouvoir récolter de l’argent et ainsi aider collectivement à
payer les amendes auxquelles sont condamné-e-s de plus en plus d’entre nous.
Autre proposition permettant d’exercer sa solidarité : signer des
chèques d’un faible montant (sans spécifier l’ordre) qui seront portés
collectivement (pourquoi pas lors d’une manifestation) au trésor public
et aux parties civiles, comme les flics et autres plaignant-e-s
assoiffé-e-s d’ordre social qu’ils veulent immuable.

Pour nous écrire, envoyer des chèques ou d’autres formes de solidarité :
Contre la répression solidarité c/o STAJ 85 rue Deslandes 37000 Tours

SOIF D’UTOPIES : 06 31 56 17 56 soifdutopies@yahoo.fr

DAL 37 : 06 83 00 88 76 dal37tours@gmail.com

LES PIEDS DANS LA PORTE : 06 20 91 20 44 lepieddanslaporte@gmail.com

VELORUTION : velorutiontours@no-log.org

NI POLICE NI CHARITE

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DEFENDRE LES DROITS DES USAGERS C’EST LUTTER CONTRE LA CASSE DU SOCIAL


Depuis une semaine une femme avec deux enfants (2 ans et 9 ans) vit
cloitrée dans une chambre au foyer G. Dolbeau de l’Entr’Aide Ouvrière.
La Direction générale de l’EAO a décidé d’orienter cette famille à
l’hôtel Comté. Celle-ci refuse cette  »proposition ». D’une part,
l’hébergement dans cet hôtel sont infâmes : cafards et autres insectes
infectent les matelas et les chambres ; d’autre part, le 31 mai les
chambres d’hôtel du dispositif d’hébergement d’urgence sera réduit
(pourquoi pas le 31 mars ? Elections présidentielles obligent !). Ainsi,
cette famille n’a aucune garanti sur les suite de  »l’hébergement »
après le 31 mai. Elle sera isolée si elle accepte d’aller à l’hôtel Comté.
Cette famille ne perçoit plus le pécule donné par l’EAO à toutes les
personnes hébergées à Dolbeau pour qu’elles puissent se nourrir.
Résultats des courses : cette femme et ses deux enfants n’ont plus les
moyens de manger. De même l’accès aux machines à laver leur est interdit !
Comment la Direction générale de l’EAO peut prendre des décisions
conduisant à affamer des personnes ? Comment l’association Entr’Aide
Ouvrière et en premier lieu son Président et les membres du Conseil
d’administration peuvent-ils laisser faire ?
Le changement tant vanter par les temps qui courent ne semble pas
souffler dans les esprits du siège de l’EAO !
Heureusement la solidarité s’organise ! Les salariés de l’équipe du
foyer Dolbeau refusent d’expulser cette famille. Mais ils n’ont pas le
droit de la rencontrer, d’aller la voir dans sa chambre. Les militants
de la section Sud de l’EAO ont apporté de la nourriture, car la
direction ne peut empêcher des élus du personnel et des délégués
syndicaux d’intervenir sur les lieux de travail. Des militants de RESF
37, du DAL 37, de Chrétiens Migrants et de SOIF D’UTOPIES ont tenté eux
aussi d’apporter de la nourriture et manifester directement leur
solidarité auprès de cette famille. Cela leur a été interdit !
Ils appellent donc régulièrement le siège de l’EAO pour signifier à la
Direction générale leur solidarité envers cette famille et leur souhait
de lui apporter de la nourriture et du réconfort.
Cette situation ne peut plus durer. C’est trop ignoble !
Ce n’est pas la première fois que nous nous mobilisons pour empêcher que
des familles, des célibataires soient jetés à la rue ou hébergés dans
des conditions inhumaines dans des hôtels infâmes. Nous en avons plus
qu’assez !
Le Délégué syndical de la section SUD à écrit au Président de l’EAO lui
demandant une rencontre avec l’ensemble des sections syndicales
présentes à l’EAO pour qu’on en finisse avec ces situations. Elles
contribuent à dégrader nos conditions de travail, renforcent le mal être
au boulot que nous connaissons tous les jours et portent atteinte aux
conditions de vie et à la dignité des usagers aidés par l’EAO.
POUR LA DEFENSE DES DROITS DES SALARIES ET DES USAGERS
POUR LA DIGNITE DES SALARIES ET DES USAGERS
REFUSONS L’INHUMANITE DES TECHONOCRATES
Vous pouvez exprimer à l’Entr’Aide Ouvrière ce que vous pensez de cette
situation au 02 47 31 87 00 ou à l’adresse suivante :
infos@entraideouvriere.org
SECTION SUD SANTE SOCIAUX DE L’EAO

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Roule ta Bill


ceci est un message multi-infos :
Bonsoir Billons, Billonnes enfin, je veux dire celles et ceux qui
s’intéressent aux zaventures de Bill, les fans quoi !

un atelier mobile tenu par les Bills (gars et filles) mettra à profit la
Fête du vélo 2 juin (organisé par l’agglo de Tours) sur l’esplanade
Anatole France pour faire parler de Bill.

Il soutient l’initiative de MOUCIFON (Mouvement de citoyens de Fondettes)
qui désire ardemment une passerelle sur la Loire pour les circulations
douces

Un char est en construction sous le hangar du 244 rue Auguste Chevallier
et a besoin d’un dernier coup de main (peinture, déco, slogan, …)JEUDI
24 à partir de 16 H et SAMEDI à partir de 14 H .
Il sera tiré par un vélo, enfin un cycliste quoi. Une sono bien amplifiée
accompagnera le défilé (préparer vos musiques) ainsi que deux musiciens
pour les haltes.

voici l’argumentaire qui sera distribué :
La fête du pont St Cosme à FONDETTES…s’invite sur les ponts… de TOURS
Le PONT St COSME sur la LOIRE ,C’est en TOURAINE ,entre Fondettes/ St Cyr
et La Riche
Question:                à vélo , à pied , en bus , comment relier
Fondettes/St Cyr à La Riche, sur la rive opposée ?
Au pays de la « douceur de vivre », les circulations « douces » ne sont
pas partout à la fête !
Soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
On nous mène en bateau avec des « projets passerelle »qui tombent à l’eau,
implacablement, l’un après l’autre…toujours rien en vue pour le vélo…
oubli « durable »
Venez nombreux nous rejoindre !
Musiciens, chansons, char…
SAMEDI 2 JUIN 2012
rdv : à Tours 15h30 à 16h esplanade de la gare
 parcours : pont de fil…, quais Paul Bert et Portillon…
pont Napoléon… Tanneurs…
3 km825, soit un parcours de santé accessible à tous.
Bus :ticket à 2,20 euros pour un groupe de 3 ou 4 pers.
Manifestation festive déclarée en préfecture.
moucifon37.st_cosme@yahoo.fr
velorutiontours@no-log.org

Bill

plus d’infos sur : www.roulementabilltours.wordpress.com

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[A bas la démocratie] Nous ne voulons pas être des étudiants


http://fr.contrainfo.espiv.net/2012/05/12/nous-ne-voulons-pas-etre-des-etudiants-nous-sommes-des-delinquants/

*Prologue*

Ceci est un pamphlet. Ce n’est pas un livre, ni un petit livre, ni un
cahier, ni un petit cahier, c’est un pamphlet. Il ne prétend pas, loin de
là, d’ être objectif, ni de créer le consensus. Ses prétentions sont
beaucoup plus grandes, ainsi nous ne comprenons pas pourquoi nous devons
faire les modestes quand nous pouvons aspirer à ce qu’il y a de mieux.
Qu’est-ce que c’est le mieux ? Nous ne voulons pas avoir de limites. Nous
ne savons pas si nous en avons ou pas, mais précisément ceci n’est pas la
question, car nous ne DÉSIRONS pas avoir de limites, nous voulons nous
déchaîner. Ce qui nous importe c’est nous. Nous nous inquiétons des
obstacles et des ennemis dans la mesure où ils nous empêchent de faire ce
que nous voulons ou d’obtenir ce dont nous avons besoin. S’ils ne gênent
pas ils n’existent pas. Et si ils gênent, ils doivent arrêter d’exister.
Nous avons passé suffisamment de temps à réfléchir sur l’ennemi, le
Système, le Capital etc .. Nous croyons que c’est l’heure qu’enfin nous
nous occupions de nous même. Qu’est-ce qui nous plaît ? Ne nous plaît pas ?
Que voulons nous ? Ne voulons pas ? Quels sont nos vrais désirs ?

C’est vers ça que nous tendons. C’est notre objectif, et nous sommes prêts
à aller vers ça, et partout ailleurs.

Les conditions sont là pour que ce qui existe déjà dans le principe voit le
jour et existe vraiment.

Comme le disaient certains étudiants de la préhistoire du mouvement
étudiant dans les années 60, les étudiants sont une classe en eux-même.
Nous ne sommes pas salariés, bien que pour la majorité d’entre nous nous
sommes destinés à l’être; nous ne sommes pas non plus dirigeants, comme peu
d’entre nous sont destinés à l’être. Nous sommes nulle part, nous sommes
encore en transition, en construction. Nous ne voulons pas dire que nous
sommes à l’abri de la merde du Système, mais nous disons que nous sommes
dans les conditions matérielles, concrètes, pour se révolter, se retourner
contre tout ce qui ne nous plaît pas et pour tout ce qui nous plaît.

Nous ne possédons rien, rien n’est à nous. Nous n’avons ni notre propre
maison, ni voiture, ni famille, ni enfants à charge, ainsi on ne peut pas
nous tromper avec le fait que nous sommes de la classe privilégiée, parce
que nous n’avons rien à garder. Il nous manque encore tout à avoir.

Tout est devant nous. C’est le premier point dont nous devons prendre
conscience : nous n’avons rien à perdre. Si nous faisons une grève, on ne
vas pas nous virer de notre travail, et on ne va pas arrêter de percevoir
un salaire, et nous n’avons pas non plus à perdre de stupides « conquêtes
sociales » avec lesquelles ils ont réussi à tromper nos parents. Si nous
faisons grève, non seulement nous n’allons rien perdre, mais nous allons
gagner beaucoup de choses, nous allons nous réapproprier un jour d’ennui,
et nous allons en faire un jour de vie réelle, de vie intense dans laquelle
nous allons faire à chaque instant ce qui nous plaît et non pas ce qui
correspond à notre rôle d’étudiant. Profitant du plaisir de l’instant
subversif.

Qu’on ne se foute pas de nous, la seule chose qui peut vraiment se perdre
c’est la peur. Ce n’est pas tant la peur de potentielles représailles des
diverses autorités – professeurs, parents, …- ni la peur de la punition
sociale parce que tu n’agis pas selon les attentes imputées à ton rôle.
C’est la peur de soi même, la peur de ne pas savoir quoi faire lorsque
personne ne nous dirige et nous dicte notre conduite. La peur de ne pas
savoir jusqu’où aller lorsque personne ne nous montre la voie, la peur de
ne pas savoir quoi faire à chaque instant. La peur de vivre sans maîtres.
La peur de l’incertitude.

Nous allons vous confier un secret : nous aussi nous avons peur ! Et même,
nous croyons qu’une bonne part de notre force se base sur cette peur. Nous
ne voulons pas que ça soit clair, nous ne voulons pas avoir le chemin
balisé ni une lumière au bout du tunnel vers laquelle nous diriger en
somnambules. Nous voulons construire notre vie au jour le jour, et par
conséquent, affronter la peur de vivre sans maîtres. Nous avons peur, c’est
vrai, et l’incertitude nous ronge, mais cette incertitude fait aussi que ça
nous donne envie et nous met en ébullition.

Vous n’êtes pas attirés par l’idée de faire l’expérience d’une vie nouvelle
et d’abandonner cette expérience médiocre ? Alors expérimentez, faites ce
que vous voulez, faisons ce que nous voulons, nous ne saurons pas ce que
c’est jusqu’à ce que nous l’expérimentions, et même ainsi nous ne pourrons
pas prétendre le savoir car à chaque moment nous découvrirons de nouvelles
choses. Nous ne nécessitons rien de plus. Nous voulons avancer. Vers où ?
Nous ne le savons pas. LÀ-BAS, par exemple, nous savons en tout cas que
nous ne voulons pas être ici. N’importe quoi à part ça, nous sommes
fatigués, ce monde nous ennuie, il ne satisfait pas nos besoins et nos
désirs, il ne nous plaît pas et nous ne nous amuse pas. Mais nous voulons
plus, nous voulons une vie meilleure.

Qu’on ne nous trompe pas non plus avec notre avenir. Nous ne sommes pas le
futur et nous n’avons pas non plus un bel avenir devant nous. Nous n’avons
pas envie d’accepter le futur, avoir un futur c’est s’écrire une mort,
écrire le roman de ta vie avant de la vivre : tu fais juste ce qui est DÉJÀ
écrit et tu ne construis pas ta vie au jour le jour. Et aussi nous
n’acceptons pas le futur parce que nous n’acceptons DÉJÀ pas le présent
misérable qui est là et nous n’acceptons pas non plus le futur de merde
qu’on nous prépare. Cette vie est misérable !

Nous sommes conscients malgré tout de notre situation dans le monde. Nous
sommes conscients que nous sommes ici pour être de futurs travailleurs,
nous savons que nous avons un rôle à jouer dans ce monde, celui
d’étudiants, celui de gens qui apprennent à avaler la merde, la merde de la
Réalité, celui de gens qui s’appliquent à apprendre l’idéologie
qu’insufflent les intellectuels du Système à travers la culture, de gens
qui apprennent à réduire leur corps et leur tête à des espaces et des
horaires rigides pour arriver dans le monde du travail avec le corps et la
tête déjà réduits. Nous sommes conscients que nous sommes des Étudiants.

Mais nous sommes conscients que nous ne voulons plus l’être. Nous ne
voulons pas nous habituer à des horaires et des espaces, nous ne voulons
pas avaler de la merde, nous ne voulons pas apprendre leur idéologie, ni
aucune idéologie. Plus d’intellectuels, plus de culture, plus d’art. Nous
aussi nous voulons arrêter d’être étudiants. Mais nous ne voulons pas
arrêter d’être des étudiants pour devenir des travailleurs ou autre chose.
Nous ne voulons pas quitter un rôle pour en embrasser un autre. Nous ne
voulons aucun rôle, nous ne voulons pas être rien, nous voulons être ce
dont nous avons envie à chaque moment. À chaque moment. Nous, étudiants,
devons commencer à arrêter de nous cramponner à des idéologies et pensées
créées, des choses DÉJÀ faites auxquelles nous nous accrochons à cause de
cette peur de vivre sans maîtres, à construire chacun sa vie à chaque
moment.

C’est le moment de se jeter à l’eau, d’abandonner toutes les croyances et
illusions qui nous garantissent la sécurité de vivre dans ce monde. La
sécurité dans cette société n’est pas plus qu’une barrière qui nous protège
de .. de quoi ? Vous êtes vous déjà demandé de quoi nous protège la
Sécurité qu’on nous offre ? De quoi devons-nous avoir peur ? Les sécurités
nous protègent de nous-même, c’est nous que les barrières ne laissent pas
sortir, et non les autres qui peuvent aller et venir. Ils ne nous
permettent pas de dépasser ce qui est permis. C’est notre propre police qui
nous surveille lors de nos arrestations à domicile. Tu te décomposes de
l’intérieur, tu t’endors et tu t’ennuies, avec l’assurance que tu vas
continuer à vivre, c’est à dire, que ton cœur va continuer de battre. Et le
reste ? Les rêves ? Les désirs ? Les émotions ? La passion ?

Tout cela est là, de l’autre côté de la barrière. Abandonnez les sécurités,
la seule chose qu’elles font c’est enchaîner, et lancez-vous dans
l’expérience palpitante de vivre sans normes, sans maître, sans rôle.
Expérimentez.

Nous voulons vivre et expérimenter MAINTENANT, pas à court ou long terme.

L’idée de la révolution comme processus est très bien, mais nous ne pouvons
plus attendre. Nous avons besoin d’améliorer notre vie, nous voulons
qu’elle ait une forme plus intense, et pour ça nous voulons lui créer des
moments où elle s’épanouira. Nous voulons des insurrections, des
soulèvements, des révoltes, la tension du conflit ouvert. Ça ne nous
convient pas d’avoir simplement le rêve d’une révolution, nous préférons le
rêve et l’utopie d’un moment d’insurrection. Le soulèvement est une
réappropriation, une vraie rupture avec la monotonie de la vie quotidienne,
avec les normes sociales, et avec les rôles qu’à chaque moment de la vie
nous devons adopter. Le moment de soulèvement rompt avec les horaires, le
temps, qui arrête d’être une tyrannie linéaire, pour devenir un désordre de
moments vécus intensément. Nous savons qu’une insurrection ne va pas
changer le monde, mais nous croyons qu’elle peut transformer notre vie.

Parce qu’il s’agit de changer le monde, mais aussi de transformer la vie.
Nous ne sommes intéressés par aucune révolution qui n’élève notre qualité
de vie. Nous ne sommes pas intéressés par un monde, aussi libre et juste
qu’il soit, si la vie est tout autant ennuyeuse, monotone, rationnelle et
médiocre que celle que nous vivons maintenant. Plaidons pour créer la
révolution qui ne triomphe jamais. Nous ne voulons pas triompher. Nous ne
voulons pas perdre le rêve et l’utopie. Les choses qui ont une fin ne nous
intéressent pas, ni les choses dont le destin annoncé est de mourir. Nous
ne voulons pas avoir de futur, nous fabriquerons notre vie au fur et à
mesure. Nous ne voulons pas nous définir maintenant, nos actes nous
définirons en temps voulu. Nous ne voulons pas que tout soit clair, nous
nous éclaircirons au fil de la pratique.

Les choses ne sont pas claires pour nous. Mais ATTENTION, ça ne veut pas
dire que nous allons permettre à des intellos de nous éclairer et de nous
dire qui nous sommes et ce que nous voulons et ce que nous ne voulons pas.
Nous n’admettrons pas d’avant-garde révolutionnaire qui viennent chapeauter
notre révolte avec leurs idéologies ? Et nous n’allons pas plus permettre
les leaders syndicaux ni les syndicats eux-même. Nous n’allons pas vous
laisser faire, nous vous prévenons, nous n’allons permettre aucune
tentative de manipulation, et nous allons pas vous laisser récupérer nos
luttes pour le système, nous menant vers le cours inoffensif de la
démocratie. À bas la démocratie ! Plus de dialogue ! Il faut faire face.
Nous vous prévenons, si vous essayez d’étendre vos griffes parmi-nous nous
nous jetterons sur vous avec toute notre colère. Mieux encore, nous nous
jetterons sur  vous, même si vous n’essayez pas d’y mettre vos sales
pattes, juste pour ce que vous êtes et ce que vous faites, pour votre
fonction de pompier des feux de la révolte. Récupérateurs de merde, vous
êtes dans notre point de mire.

Tout est dans notre point de mire. Rien de ce monde ne vaut la peine d’être
sauvé. Les étudiants, nous nous foutons de tout. Nous avons commencé par
revenir de la crédulité de la vie moderne, nous ne croyons pas dans la
sécurité du foyer rempli de sentiments électrodomestiques, ni dans les
machines qui donnent un bonheur pathétique, comme le sourire de l’âne
lorsqu’il meurt.

Les voitures ne sont pas plus que le modèle de l’idéal bourgeois du
bonheur. Brûlons-les, brisons les vitrines de l’aliénation et de la fausse
vie.

Brûler des voitures, briser des vitrines. Ce n’est pas une consigne que
nous vous donnons.

Brûler, casser, ce sont nos sentiments que nous vous lançons. Nous vous
lançons notre rage, notre colère. Nos désirs et nos rêves. C’est ce que
nous pensons. Voilà ce que nous sommes.

Nous nous répandons dans notre environnement telle la lave du volcan. Nous
voulons faire irruption, et pas attendre que les fleurs éclosent. Nous
voulons briller deux fois plus sans devoir nous résigner à ne durer que la
moitié du temps. Nous sommes des utopistes, des rêveurs. Des rêveurs ! Vous
avez arrêté de rêver ! Vous êtes devenus grands, vous êtes autant adultes
que ces universitaires envahis par l’ennui à vingt ans et quelques. Nous
autres nous n’avons jamais arrêté d’être des enfants. Nous sommes toujours
sauvages et nous résistons pour ne pas être domestiqués.

*Nous mordons.*

*Nous sommes utopistes et sauvages.*

C’est sûr que vous pensez qu’on est fous, pas vrai ?

Ce pamphlet est un virus. Il s’étend et se propage de par le monde sans
limites, en tissant des réseaux de désirs subversifs. Tu peux en faire
parti. Et même, tu peux l’incarner.

Répand-le, photocopie-le, offre-le aux gens que tu aimes. Crée du rêve.

*Des Sauvages*
* *

*Madrid, décembre 1998*

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[Bons Baisers de Montréal] Affrontements et loi spéciale

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[Mobilisation] Antenne relais à Saint Pierre des Corps


La société Free Mobile projette de construire une antenne relais en face
de l’école maternelle ( au 95 avenue Lénine, immeuble ICF de 8 étages).

La mairie de St Pierre-des-Corps a organisé le 23 mars une réunion
d’information (pour les habitants dans un rayon de 100m de
l’implantation, alors que le faisceau principal des ondes retombe dans
un rayon entre 150 et 400 m… et sans inviter les parents d’élèves de
l’école). D’après nos informations, il y avait très peu de personnes
présentes. Nous ne pouvions donc pas nous satisfaire de cette « demi »
information et nous voulions avoir quelques renseignements sur ces
antennes relais. C’est pourquoi nous avons organisé une réunion (le 17
avril) avec l’un des membres de l’association /Robin/ /des Toits/, qui
ne milite pas contre les antennes relais mais pour des antennes relais
moins puissantes offrant le même service.

Au sortir de cette réunion, nous ne sommes pas très rassurés de voir
s’installer une antenne relais à mois de 150 m de l ‘école maternelle;
et plus largement, nous ne pensons pas que la multiplication de ces
antennes soient une bonne chose pour notre santé.

En effet, p our le moment, en France, les seuls seuils contraignants
pour l’exposition de la population aux ondes basses fréquences sont
fixés de 41V/m à 61V/m. Ces seuils (fixés par décret en 2002) ne
tiennent compte que des effets thermiques (il ne faut pas que l’on cuise
comme dans un micro-ondes).

Dans le Rapport BIOINITIATIVE, publié en Août 2007, les auteurs font
référence à plus de 1500 travaux publiés sur tous les aspects de la
toxicité de la téléphonie mobile suite à une exposition prolongée aux
ondes :
*altération non-réparable de l’ADN, perturbations de fonctionnement du
système nerveux avec pour conséquences des troubles du comportement,
perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau, développement de cancers
enfantins du type leucémie etc… *
Ce rapport a été validé par l’Agence Européenne de l’Environnement, puis
par le Parlement Européen.
Dans son dernier rapport paru le *15 octobre 2009*, l’Agence Française
de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail
*reconnaît**incontestablement*certains effets biologiques.

Nous avons demandé par courrier à Mme le Maire :

* un recours gracieux (annulation) de l’autorisation de construire
cette antenne
* d’organiser une autre réunion d’information avec des personnes de la
société Free mais aussi avec des scientifiques indépendants
(notamment ceux du CRIIREM, organisme indépendant qui travaille sur
les effets des ondes),
* dans ce courrier nous avons demandé qu’une simulation soit faite
pour connaître les expositions potentielles à ces champs.

La mairie a malheureusement répondu négativement à toutes nos demandes.

Dans de nombreux cas, c’est la mobilisation de la population qui a fait
reculer les installations souhaitées par les opérateurs (sur les Halles
à Tours, à St Avertin, etc…).

Mercredi 23 mai à 17h00

Etienne Cendrier, porte parole national de l’association Robin des
Toits, viendra _à l’école_ (accompagné des média locaux) constater
l’aberration de ce projet.
Soyons nombreux !!

Pour vous informer, le même jour, au Centre de Vie du Sanitas à Tours, à
20h, conférence débat, avec le même Etienne Cendrier.

Nous restons mobilisés, nous allons mettre en place *une pétition contre
l’installation de cette antenne à 200 m de l’école.*
Si vous voulez nous soutenir n’hésitez pas à nous contacter.

Les Parents d’Elèves FCPE

Contact :
François SEIGNEUR
FCPE Pierre Sémard – Les Sablons
St Pierre des Corps
02 47 44 75 86

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Entr’Aide Ouvrière affame une famille

La famille (une femme et deux enfants de 3 et 5 ans) logée au foyer Dolbeau par Entr’Aide Ouvrière, ne voulant pas quitter les lieux, pour se rendre à l’hôtel miteux du Conté est privée de nourriture. Elle a aussi interdiction de laver son linge : telle est la sanction, à qui refuse d’aller dormir au milieu des cafards.

On peut appeler l’Entr’Aide Ouvrière au : 02 47 31 87 00 où le 115!

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Concert chez les Colettes le 28 Mai

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