Le recrutement de la gendarmerie attaqué à Poitiers

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POITIERS, Vienne, France (Fox News) – Vendredi 1er mars 2013, le bureau poitevin de recrutement de la gendarmerie nationale a subi une attaque d’une violence sans précédent. Aux alentours de 18h30, une dizaine d’individus appartenant vraisemblablement à un groupe paramilitaire d’obédience narco-autonome et éco-djihadiste a sauvagement ravagé la vitrine de celui-ci à coups de colle et de bandes de cellulose arborant des messages crypto-terroristes. Selon les services de renseignement, le commando aurait agi en lien avec les dangereux squatteurs de Notre-Dame-des-Landes. De plus, notre envoyé spécial, présent sur le terrain, a pu constater des modes opératoires similaires à ceux employés par les déboulonneurs de pylônes. Les vandales ont quitté la zone bien avant que les forces de sécurité ne déclenchent le plan Épervier (mobilisant toutes les unités disponibles) qui a tout de même permis d’interpeller un individu à l’apparence fort peu honnête. Contacté par notre reporter, Médor, un agent chevronné de la brigade des stups nous confiait, juste après l’opération, être persuadé de l’innocence du suspect, qui a été finalement relâché.

Cet événement jette un froid dans une ville déjà meurtrie à de nombreuses reprises par de lâches attentats. Poitiers, pourtant, semblait presque paisible. En effet, ses valeureux justiciers en bleu foncé s’étaient attelés à étouffer toute menace terroriste. Reste à espérer que cet acte isolé n’en appelle pas d’autres…

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[Cours Camarade] Tract Tours 5 mars

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   tract diffé à tours lors du carnaval syndical

    « Se fier à vous ? Plutôt vous pendre ! À chaque minute vous changez
d’idée : vous trouvez noble celui que vous haïssiez tout à l’heure,
infâme celui que vous couronniez. Qu’y a-t’il ? Pourquoi, dans les
rues de la cité, criez vous contre ce vil sénat ? »

Toujours des manifs sans lendemains, des grèves sans suites et des
mouvements qui n’ont d’autres buts que de calmer tes désirs ardents
d’un monde de liberté illimitée. Tu préfères la routine des révoltes
qui n’en sont pas et des luttes perdues d’avance, le maintient de cet
ordre qui t’opprime contre la joie de la rébellion.

Les partis, les syndicats, de gauche comme de droite te baladent
allègrement au gré des réformes que les nécessités du capitalisme,
poussent l’état à imposer. Chaque fois c’est la même mascarade, on sort le
temps de dépoussiérer les drapeaux et puis chacun retourne aussi sec à la
normalité produire ce monde qui te détruit à petit feu. A quoi bon
défendre les quelques miettes que l’état et les patrons daignent te lâcher
quand demain tu retournera quémander la tête basse le droit de travailler
pour eux.
La crise qui justifie la précarité et toute les soumissions même les plus
viles, pour le bien-être d’une économie qui te détruit et ne profite qu’à
une minorité d’exploiteurs ; est le mode de gestion normal d’un ordre qui
cherche à faire de ce monde un vaste supermarché. La restructuration du
monde du travail de ces dernières décennies dont les politiques actuelles
ne sont que la continuation, sont en train d’achever de faire de
l’entreprise un espace organisé de manière à ce que toute révolte soit
impossible. Que ce soit la mise en concurrence des salariés entre eux à
l’intérieur d’une même entreprise, par le biais de la sous traitance ou à
l’international, la présence accrue de petit-chefs pour tout surveiller,
où l’impression de liberté dans l’organisation du travail qui masque mal
l’intériorisation de la contrainte. Ceux qui refusent de se soumettre à
cela sont rejetés dans l’isolement, la précarité et enfermés quand il
décident d’explorer d’autres voies pour subvenir à leurs besoins.

Nous sommes de ceux qui ne supportent plus cet état de fait, de ceux qui
gardent l’espoir de bâtir une société libre et horizontale, nous ne
voulons plus attendre pour agir. Nous pensons qu’il est temps de déserter
le jeu de la contestation organisée, et des défouloir militants pour
pouvoir enfin attaquer le pouvoir et ses structures. Ce ne sont pas les
masses qui délèguent leur pouvoir à quelque intelligentsia politique ou
syndicale chargées de les représenter qui peuvent espérer changer
quelque-chose, mais des individus révoltés et agissant par eux-même sans
aucune médiation, avec pour contraintes les limites de leur imagination et
la nécessité de ne pas agir selon des moyens incompatibles avec leur désir
d’une liberté démesurée.
Nous proposons sur trois thèmes des points de vues qui nous semblent
propices à alimenter le feu de la révolte, sans pour autant les porter
comme un programme ou un ensemble de vérités univoques et indiscutable.
Ils n’ont de valeur et d’intérêt qu’en tant que points de départs
possibles pour l’action.

La précarité :

Nul ne le contestera, la restructuration continue du capitalisme a un
effet direct sur les conditions de vie de chacun. La précarité se
développe, les acquis sociaux, ces miettes arrachées au patronat en
échange de la soumission te sont petit à petit retirées ; et les
conditions de travail du fait de la mise en concurrence mondiale des
salariés organisée par les capitalistes, sont de plus en plus rudes et
incertaines. Face à cette situation qui dans un pays « développé » comme
la fRance laisse entrevoir pour beaucoup les affres du déclassement deux
issues sont possibles.
Ou se battre pour conserver ses privilèges ( L’illusion d’abondance et
d’une vie de loisir bâtie sur l’exploitation des ressources et de la force
du travail du tiers monde. ), c’est à dire ceux de sa catégorie sociale,
de sa profession ou de son entreprise. Le faire contre ceux qui n’en
bénéficient pas et rentrer ainsi dans une logique d’exclusion qui contient
en puissance toute les dérives fascistes. On monte ainsi les salariés
contre les chômeurs, les français contre les étrangers, … Il y a
toujours un plus pauvre à écraser pour avoir une plus grosse part des
miettes. Lutter contre le déclassement c’est rentrer dans une logique de
cannibalisme social et faire le jeu de ceux nous exploitent.
Ou alors constater l’uniformisation de la condition des exclus du
capitalisme, tant sur le plan économique que sur celui du contrôle. Le
sans papier traqué et obligé de vivre clandestinement, les jeunes issus de
l’immigration contrôlés en permanence au nom de la lutte contre le
terrorisme, le chômeur en fin de droit expulsé de son logement car il ne
peut plus en payer le loyer,  En partant de cela on peut alors envisager
la possibilité d’une révolte commune contre les hiérarchies et les
séparations qui organisent la misère, et envisager d’en finir avec cette
dernière.

L’environnement :

La colonisation marchande du monde par le capitalisme aspire, à faire de
chaque parcelle de cette planète, de chaque chose, une marchandise. Tout
ce qui n’a pas de prix n’existe pas.
Il apparaît pourtant de plus en plus évident que les conséquences de cette
colonisation, se font sentir chaque jour un peu plus pour chacun, à
travers la pollution, la marchandisation de l’espace, la dégradation de la
qualité de l’alimentation et l’urbanisme sécuritaire. La ville laisse
transparaître l’hypertrophie d’un système qui pour accroître ses profits
va jusqu’à hiérarchiser et normaliser la nature pour en faire une machine
sans vie où plus rien d’imprévu ne peut arriver. Pour nous c’est la
certitude d’une vie sans aventure passée à produire ce qui nous empêche de
vivre.
Cette mort à petit feu, à laquelle nous sommes condamnés par la
dégradation et l’organisation marchande de notre environnement sont aussi
produite par chacun d’entre nous, par tout ceux qui se lèvent tout les
jours pour aller travailler, pour faire leurs courses ou payer leurs
impôts. Il faudrait peut être s’arrêter un instant, reconsidérer ce que
chacun contribue par ses actes à produire tant comme marchandise, que
comme contrainte. Cesser de défendre à tout prix son emploi quand il
implique de produire des nuisances, des services débiles et aliénants,
l’aménagement et le contrôle de nos espaces de vie ; et s’en aller faire
autre chose de réellement enrichissant pour soi même et non de nuisible
pour tous.
Opposer la qualité de vie au chantage salarié de la survie, et agir avant
que les écosystèmes aient atteint du fait de l’activité humaine un point
de non-retour fatal à l’espèce tout entière et surtout à chacun d’entre
nous.

La sécurité :

La sécurité se présente comme un problème majeur dans la bouche de ceux
qui nous gouvernent. Pas un jour sans son lot de faits-divers sanglants
qui rappellent à chacun combien la police, la justice et les prisons sont
nécessaires pour assurer le bien être de tous. Et que car il a peur,
l’état veille au grain et lutte contre l’insécurité. La sécurité serait le
premier des droits de l’homme, elle vaudrait bien qu’on lui sacrifie
toutes les libertés. Fichage, Surveillance des communications, occupation
policière et militaire des lieux publics, vidéosurveillance, contrôles
dans les transports, dans la rue, au supermarché ou au volant ; les
manifestations de l’ordre sécuritaire s’imposent quotidiennement dans la
vie de chacun, et plus particulièrement aux plus pauvres à tout ceux qui
du fait de leurs conditions de vies seraient tentés d’enfreindre la loi
pour subvenir à leurs besoins ou pour lutter.
« Je n’ai rien à me reprocher, cela ne me concerne pas » dit le brave
citoyen, oubliant que derrière ce contrôle qui ne s’applique qu’aux «
Autres » aujourd’hui. C’est l’outil de la répression qu’il subira demain
qui se construit. Il a oublié qu’un type moins con que lui disait en son
temps, « ce n’est pas du bruit des bottes que nous devrions avoir peur
mais du silence des pantoufles », souffrant de voir ses contemporains se
soumettre sans broncher à ce contrôle « pour leur bien » quand lui, lucide
voyait s’évaporer sa liberté et les possibilités de révolte.
L’industrie sécuritaire, en outre d’être un buisness fructueux qui se paye
sur tes impôts ; est aussi une logique qui tend à l’infantilisation de
chacun devant l’autorité de l’état. Au nom de la sécurité et pour un monde
réglé comme une horloge où plus rien d’imprévu ne doit advenir, tu dois
renoncer à toute forme d’autonomie, réprimer toi-même ton individualité et
accepter l’ordre en place ou alors tu seras traqué, enfermé, soumis,
rééduqué, exclu et annihilé.

« Misérable ! Qu’a besoin le peuple de ces chauves tribuns ? C’est dans
une rébellion, où la nécessité, et non l’équité, fit loi, qu’ils ont été
élus. A une heure plus propice, déclarons nécessaire ce qui est équitable,
et renversons leur pouvoir dans la poussière. »

Parce que ce monde est devenu une prison à ciel ouvert, et si ta soif de
liberté est démesurée. Il ne te reste qu’une option possible : la révolte.
Face à une tâche d’une telle ampleur et d’une non moindre importance, se
pose la question « que faire ? ».
Il n’y a pas de réponse toute faite dictée par une doctrine qui s’impose.
Il est possible pour chacun de trouver dans sa vie quotidienne, des
besoins, des désirs qui valent le coup de se mettre en lutte. Et de penser
les moyens, de cette révolte en fonction de sa situation particulière tout
en gardant à l’esprit la nécessité d’avancer sans reproduire la domination
et les structures hiérarchisées de ce monde.
Il ne suffit pas de de se grouper ou d’agir ponctuellement pour en finir
avec l’ordre. Si on aspire à faire s’effondrer ce monde, encore faut il se
transformer soi-même et cesser d’être un rouage de ce monde.
Il convient à chacun d’imaginer ses propres moyens de lutte et de les
réaliser individuellement ou collectivement. Du sabotage à la grève
sauvage, du squat à la propagande écrite ou l’émeute… Ce que craignent
ceux qui nous gouvernent c’est d’être débordés. Ce qui compte ce n’est pas
tant l’unité des révoltés que la diffusion des actes de résistances, et
l’autonomie de chacun qui nous rendront ingouvernables.

Relève la tête cesse d’être un esclave
Dresse toi contre l’autorité la rage aux bras, la joie au cœur
Peut-être alors pourrons nous enfin nous reposer parmi les ruines de ce
monde.

Quelques ami-e-s de l’anarchie

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La solidarité est plus que des mots impriimprimés

solidaridadhttp://fr.contrainfo.espiv.net/2013/03/04/sur-la-solidarite-
dans-la-repression-sur-laffinite/

Une fois j’ai entendu un vieil anarchiste qui avait vécu la révolution et
la guerre et qui avec la sagesse que donne l’expérience et un petit sourire
sur le visage disait :” les anarchistes ce qui nous plaît le plus c’est de
nous disputer”, et il n’avait pas tort. Il y a mille et une divergences
connues au sein du mouvement : cénétistes vs. cégétistes,
anarchosyndicalistes vs. insurrectionnalistes, mais même au delà de ça, au
sein de l’idéologie, de chaque groupe, de chaque famille émergent des
divergences et les débats explosent avec passion, parce qu’en plus d’envie
de se disputer une autre chose que nous avons l’habitude d’avoir, nous les
anarchistes, c’est une passion pour ce que nous croyons, et cette passion
nous envahit à chacun de nos pas, à chaque décision que nous prenons, à
chaque risque que nous assumons. Cette “richesse” qui donne la variété
d’opinions est la conséquence du refus que personne ne te dise ce que tu
dois penser ou ce que tu dois faire, le refus des dirigeants qui tracent
une ligne politique à suivre, la raison d’être de l’importance et la
responsabilité individuelle face à la soumission devant un leader, un
programme, un parti, etc … Évidemment nous ne prendrons pas le palais
d’hiver mais ce que nous faisons, les décisions que nous prenons, seront la
conséquence d’une analyse personnelle que chacun de nous assumera
individuellement.

L’affinité dans nos groupes est quelque chose de fondamental, la libre
association fait que cette affinité est agglutinante du groupe, et même,
cette affinité en plus de politique devient nécessairement personnelle car
l’honnêteté envers les compagnons devient un ciment sur lequel construire
n’importe quel projet politique à venir.

Jusqu’ici tout ceci se fait plus ou moins naturellement dans les conditions
normales. Mais lorsque la répression se jette sur nous tout cela devient un
déchaînement de passions, de peurs, d’adrénaline débridée, de nerfs … La
répression est un coup dur auquel nous ne nous habituerons jamais, d’autant
plus lorsque ça te touche de près. C’est dans ces moments que toute cette
passion que nous portons dans nos discussions se débride et devient un
problème. Thessalonique, Milan, Turin, sont des exemples de comment la
répression creuse les divergences, éclatent les vieilles rancœurs et les
vieilles querelles et finissent par se déchaîner en une spirale d’attaques
et vendettas auto-destructives totalement inutiles et décourageantes pour
le reste des groupes et individus en affinité qui observent ça de loin. La
ligne fine qui sépare la divergence politique ou méthodologique de
l’attaque personnelle ne devrait jamais être dépassée, encore moins dans
des moments d’attaques répressives de la part du système, ceci devrait être
une maxime gravée au feu entre compagnons. Isoler un compagnon blessé et
séquestré entre les griffes du capital est largement contraire à l’idéal de
solidarité et d’entraide auquel nous pensons croire fermement.

Lorsque le système s’acharne à mort contre un compagnon ça n’est pas le bon
moment pour faire émerger de vieilles rancœurs et l’attaquer avec des
reproches sur des vieilles questions, c’est plutôt mesquin et cruel.
Lorsque la répression s’acharne sur des compagnons engagés qui,
divergences, colères, disputes et affrontements verbaux mis à part, ont
largement prouvé leur implication, courage, engagement et dévouement, la
solidarité doit être indiscutable. Bien entendu la solidarité ne doit pas
amener à une attitude acritique, les différences politiques, idéologiques
et méthodologiques sont acceptables et nécessaires, mais la solidarité doit
passer au dessus des divergences lorsque la gravité de la situation
l’exige. C’est aussi facile que : ” je ne partage pas tes méthodes, ton
approche de l’affrontement, ta méthodologie, mais tu peux compter sur mon
soutien et solidarité maintenant que la machinerie coercitive et
destructrice du système s’acharne sur toi”.

La solidarité entre acrates ne devrait pas être juste des mots sur du
papier.

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[Retour en Images] C’est vrai qu’il restait quelques arbres à Tours

 

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Germain r’pète une bulle.

Retour en images sur l’abattage des arbres place des Halles, Tours le 04
février -jour du retour des oies sauvages.
Afin d' »élargir le parking » les arbres sont coupés sous la surveillance
d’autres escadrons.
Un peu moins de vert. Un peu plus de bleu.
Et Prince Jean se fait insulter par les passantEs.

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Emeute à Zurich – nuit 2/3 mars 2013

Un millier de personnes pour défendre le centre alternatif Binz(zurich)

Un millier de personnes pour défendre le centre alternatif Binz(zurich)

 

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En voir plus: http://www.youtube.com/watch?v=jtBreL75xCE

http://www.youtube.com/watch?v=IwMqEp0yeco

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Vision prémonitoire datant de 1961 de l’Europe d’aujourd’hui

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 Plus d’infos sur le film :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Pr%C3%A9sident_%28film,_1961%29

Par ailleurs, regarder le documentaire passaé sur arte il y a 2 semaines,
« bruxelles business », sur la corrélation en table ronde des industriels européens
et la commission européenne, ou comment les lobbystes (surtout les
multinationales…) influencent les lois européennes au profit du patronat, et au détriment des travailleurs.

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[Paye ton pétard pas ton mollard] Procès Cannabis Social Clubs

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Dominique Broc a eu la chance de voir la police sonner à sa porte,
jeudi 21 février à 7h50. Objet de cette visite matinale : une
perquisition approfondie de son home sweet home et une mise en garde à
vue. Après une nuit au poste, le porte-parole des Cannabis Social Clubs a
 été relâché mais il devra passer en jugement le 8 avril prochain, au
tribunal correctionnel de Tours, pour « usage et détention illicite de
cannabis et refus de prélèvement d’ADN ».

Les Cannabis Social Clubs regroupent des particuliers qui cultivent et
partagent leurs plants. Ils prônent un usage modéré et régulé du cannabis
et s’opposent au trafic. Les CSC avaient prévu de déposer un statut très
officiel d’association le 4 mars, à la préfecture d’Indre-et-Loire,
malgré la pénalisation de leur activité. Dominique Broc avait prévenu
qu�en
l’absence de réaction policière, plus de 400 Cannabis Social Clubs se
déclareraient dans sa foulée, dans la France toute entière. Objectif :
déclencher un grand mouvement social demandant la fin de la prohibition.

Mais patatras, le week-end dernier, les autorités sont bel-et-bien
intervenues. De quoi remettre en cause la stratégie du mouvement ?
D’autant plus que si le Cannabis Social Club revendique toujours 400
cellules membres, il n’en apporte pas la moindre preuve. Le 1er
décembre, en marge de leur AG, un membre actif de l’association
clandestine confiait même qu’il n’y avait pour le moment que 3 clubs
officiellement constitués.

Article sur Politis: http://www.politis.fr/Le-leader-du-Cannabis-social-club,21091.html

Site du mouvement: http://cscf.eu/

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[Zad Partout] Expulsion 1er mars?

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La rumeur d’expulsion sur la ZAD se précise pour demain matin, le 1er Mars!

Résistance sur la ZAD et partout ailleurs si cela se confirme !
by collectif de lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes

Les camarades de la ZAD ont apparemment une source qui leur confirmerait
la rumeur d’expulsion pour demain matin (corroboré par le jugement
défavorable pour la ferme de Bellevue). Nous restons prudent-e-s, car des
infos obtenus auprès de sources nous ont déjà induit-e-s en erreur.

Cependant, la présence plus que massive de forces de l’ordre autour de la
ZAD (plus de 80 camions et fourgons de CRS aux dernières nouvelles) nous
laisse à penser que quelque chose de gros se prépare. Soit pour demain,
soit pour les jours à venir. Et vu leur nombre, ce ne serait pas que pour
Bellevue ! A l’instar des camarades de la ZAD, nous appelons aussi à se
mobiliser dans tous les lieux de la ZAD menacés. Voir l’appel de la ZAD
plus-bas.

Nous ne les laisserons vider la ZAD de toute vie !

Sur NDDL comme ailleurs, résistons à leur volonté de faire de nos espaces
et de nos vies de simples usines à fric !

Des membres du Collectif de Lutte Contre l’Aéroport de NDDL

L’appel de la ZAD, visible aussi ici :

LA RUMEUR D’EXPULSION SE CONFIRME POUR DEMAIN MATIN

On n’est jamais sur.e.s de rien mais la rumeur est confirmé par une source
à peu près fiable. Nous on est pret.e.s pour demain matin, rendez-vous à
5h30 à Bellevue. CELA DIT, rien ne confirme en revanche que c’est la ferme
de Bellevue qui pourrait etre expulsée, d’autres lieux sont toujours
menacés. Comme d’hab, c est patiquement toute la zad qui est concernée ;
la Sècherie, Bellevue, le coin de la Potironnerie et toute la zone est
(Far Ouezt, Nouveau Sabot…) et toutes les barricades et chicanes.
on vous tient au courant, restez dans le coin !

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[Bons Baisers de Montréal] 26 février 2013

25 et 26 février 2013
Manifestation étudiante pour la gratuité scolaire lors du sommet sur
l’enseignement supérieur.
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[Bons Baisers de Madrid] 23 février 2013

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http://www.youtube.com/watch?v=3RRscC-XTlg

http://www.youtube.com/watch?v=egDdIdVZa2I

http://www.youtube.com/watch?v=PC1dwTynk3g

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