http://quadruppani.blogspot.fr/2013/04/jinsiste.html
Voici la traduction que l’ami
Stefano http://quadruppani.blogspot.fr/2012/05/ciao-stefano.html?q=tassinari ne
pourra pas voir. Pour ne pas oublier Gênes 2001, et les affrontements
autour du G8 à la suite de quoi les flics qui ont tabassé, torturé et tué
n’ont jamais fait une seule nuit en taule, tandis que quelques malheureux
chopés pour des bagarres avec les flics et des destructions de choses ont
fini par être condamnés, 12 ans après, à de très lourdes peines de
prison http://quadruppani.blogspot.fr/2012/07/genes-2001-nous-avions-raison-nous.html
Les marques sur la peau – Stefano Tassinari
Titre original: *I segni sulla pelle*
Traduit de l’italien par Paola De Luca et Gisèle Toulouzan
« Ils nous ont traités comme des soldats d’une armée ennemie, sauf que nous
étions désarmés et que nous ne nous savions pas en guerre. »
Juillet 2001. Comme les dizaines de milliers de manifestants qui ont
convergé vers Gênes à l’occasion d’une réunion du G8, Caterina Ramat, jeune
journaliste venue couvrir l’événement, subit le déchaînement d’une violence
policière d’une ampleur inédite en Europe occidentale. Marquée pour
toujours elle tente de percer un mystère encore non élucidé à ce jour :
l’existence d’une deuxième victime de ce sommet des puissants qui n’a
provoqué officiellement qu’un seul mort. S’insinuant avec élégance dans les
cœurs comme dans la trame des intrigues politico-policières, le narrateur
nous restitue un moment essentiel de notre histoire récente, celui où une
partie de la jeunesse a perdu confiance dans la démocratie européenne.
Né à Ferrare en 1955 et décédé en 2012, Stefano Tassinari était écrivain,
dramaturge, poète, metteur en scène, cinéaste, animateur de revues et
militant d’extrême gauche. Vice-président de l’Association des écrivains de
Bologne et fondateur notamment de Nuova Rivista Letteraria, il a eu, par
son activité multiforme, une influence déterminante.