Bonjour,
Veuillez trouver ci-dessous les dates de nos prochaines sorties ainsi
qu’un aperçu des nouveautés littéraires de La Niche.
N’hésitez pas à nous part de vos dernières lectures, recommandations et
suggestions.
Nous allons par ailleurs effectuer des commandes auprès des éditeurs
suivants :
L’Encyclopédie des Nuisances, Le Chien Rouge, Acratie, L’Insomniaque et
Terre Noire.
Si vous souhaitez un ou des titres disponibles chez ces éditeurs, merci de
nous en faire part.
En espérant vous croisez très prochainement,
Les gens de La Niche
Les prochaines sorties de la
librairie
05 avril dès 20h, Salle Paul Bert à Tours :
Soirée «DSK, Hollande, etc…» en présence de Pierre Carles. Dans le cadre
de Libérez les médias.
Plus d’infos : http://liberezlesmedias.wordpress.com/
06 avril de 15h30 à 21h, Salle Louis Mirault à Tours :
Autour de Mogniss H. Abdallah pour « Rengainez on arrive ! Chroniques des
luttes contre les crimes racistes ou sécuritaires, contre la hagra policière et
judiciaire (des années 1970 à aujourd’hui) » et Mathieu Rigouste pour « La
domination policière, une violence industrielle ». Dans le cadre de la
campagne « Devoir d’insolence antiraciste » et relayé à Tours par
D’ailleurs Nous Sommes d’Ici 37.
Plus d’infos : https://dnsi37.thefreecat.org/
Sorties de La Niche à venir (plus d’infos ultérieurement): 13 avril, forum
anti-répression ; 4 mai, journée anti-fasciste ; 5 mai, concert de Richard
Durn ; 11 mai, festival Peuples en mouvement.
Quelques nouveautés dans nos bacs
Livres :
Collectif
Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer
Editions Le monde à l’envers – Septembre 2011. 3€
Les écologistes sont sur le terrain de la lutte contre les nuisances ce
qu’étaient, sur celui des luttes ouvrières, les syndicalistes : des
intermédiaires intéressés à conserver les contradictions dont ils assurent
la régulation, des négociateurs voués au marchandage (la révision des
normes et des taux de nocivité remplaçant les pourcentages des hausses de
salaire), des défenseurs du quantitatif au moment où le calcul économique
s’étend à de nouveaux domaines (l’air, l’eau, les embryons humains ou la
sociabilité de synthèse) ; bref, les nouveaux courtiers d’un
assujettissement à l’économie dont le prix doit maintenant intégrer le coût d’un «
environnement de qualité ». On voit déjà se mettre en place, cogérée par
les experts « verts », une redistribution du territoire entre zones
sacrifiées et zones protégées, une division spatiale qui réglera l’accès
hiérarchisé à la marchandise-nature. Quant à la radioactivité, il y en
aura pour tout le monde.
Parution originale en juin 1990 aux éditions de l’Encyclopédie des Nuisances.
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Eric Prédine
Le Manuel des Jardiniers sans moyens
Les Anges Gardins – 2012. 2,5€
Le Manuel des jardiniers sans moyens part de la conviction que tout le
monde peut jardiner, malgré l’absence d’expérience, de terrain ou de
moyens financiers. Cet ouvrage est complet : absolument TOUT du strict
nécessaire pour se lancer dans l’aventure est présenté, sans compliquer
les choses et en veillant à bien illustrer.
Note de La Niche : ce guide invite également à en finir définitivement
avec toute les nuisances chimiques et industrielles dont bien des
jardiniers se sont accommodés…
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Léon de Mattis
Crises
Editions Entremonde – Février 2012.
En octobre 2008, le système financier mondial a failli s’écrouler. Depuis,
la crise financière s’est muée en une crise de la dette publique qui
s’aggrave de semaines en semaines. Le fonctionnement de l’économie, à
l’heure actuelle, repose la croyance en la capacité des États à maintenir
la valeur de la valeur. Que cette croyance s’effondre et le système périt.
Crises saisit l’occasion de la crise pour poser une question que les
économistes évitent toujours : pourquoi l’argent vaut-il quelque chose
plutôt que rien ?
Répondre à cette question c’est s’interroger sur les fondements de la
valeur dans le capitalisme. À l’heure où beaucoup s’indignent de la
situation actuelle en croyant naïvement que l’on pourrait revenir à
l’économie « régulée » des lendemains de la seconde guerre mondiale, il
faut rappeler que le rapport social capitaliste ne peut être combattu
qu’en s’attaquant à sa racine.
Tant qu’il y aura de l’argent, il n’y en aura pas assez pour tout le monde.
Léon de Mattis est l’auteur d’un livre intitulé Mort à la démocratie et
paru en 2007 à l’occasion des élections présidentielles en France. Il
participe également au projet Sic, revue internationale consacrée à la
communisation.
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Canards :
Article 11, mars-avril 2013
Entre autres au sommaire du n°11 :
Faire avec ce et ceux qui sont là, entretien avec le collectif
d’architectes mit, propos recueillis par Damien Almar
Nantes, ’’éco-métropole créative et ludique’’ : bobland ou gogoland ?,
chronique (urbaine) de Jean-Pierre Garnier et des Loubards pédés nantais
Le fleuve pour doctrine – Introduction au port autonome de Paris, chronique
(portuaire) de Julia Zortea Lorraine Cour d’Acier : les beaux moments d’histoire ne sont pas toujours ceux qui finissent bien, entretien avec Raphaël Mouterde et Pierre Barron, auteur du coffret radiophonique « Un Morceau de chiffon rouge », propos recueillis par J-B. B.
Constituer des communs à la faveur de la crise. Ou comment partager un
plat avec une seule cuillère, texte du collectif américain Midnight.
De Firminy à Saint-Étienne : la grande route de l’émeute, chronique d’Anne
Steiner Le cri de la tomate, enquête à épisodes par Jean-Luc Porquet
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Now war is declared
Journal à numéro unique sur les émeutes anglaises d’août 2011
Pourquoi cet ouvrage ? Pourquoi tant d’encre et de papier ?
Pour les quelques personnes qui l’ont conçue, cette brochure se veut un condensé de
contre-information et d’analyses autour des émeutes qui ont secoué
l’Angleterre en ce mois d’août brûlant de 2011. Des incidents qui prennent toute leur
importance dans les coeurs de ceux qui ne peuvent plus accepter ce quotidien
misérable, qui ne se laissent plus flotter sur cet océan d’oppression, qui rament jusqu’à la
rive à la force de leurs bras pour atteindre autre chose. Un autre chose
complètement opposé à cet existant qui nous dévore. Un autre chose que l’on ne peut
décrire avec le vocabulaire du présent. Un autre chose qui voit dans l’Etat, le
capitalisme et la société, et dans l’existant en général, un obstacle à sa réalisation.
Au mépris des frontières et des séparations des pouvoirs, ces émeutes nous ont
directement parlé, les rires et les larmes des enragés sont communicatifs, ils sont
les mêmes que ceux des émeutiers de novembre 2005 en France, des insurgés du Maghreb et du Machrek de 2011 ou ceux de décembre 2008 en Grèce, ils sont les mêmes parce qu’ils sont tous conditionnés par un même désir de liberté, peu importe le contexte particulier de chacun de ces soulèvements, parce que la guerre sociale a aussi peu de frontières que la domination.
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LibrairieLa Niche
133, quai Paul Bert
37000 Tours
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